Bovins de boucherie Commerce dynamique en réformes laitières
La faiblesse de l’offre est accentuée par la revalorisation du prix du lait et des prix dans la viande, qui incite les éleveurs à garder leurs animaux. Les industriels peinent à couvrir leurs besoins, même avec les importations.
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Le commerce est très actif dans les campagnes. Les vaches prim’holsteins se négocient entre 2,70 et 2,75 € pour les P+/O– et de 3,55 à 3,70 € pour les P=, en fonction du poids et de la concurrence sur le terrain. Les normandes et les montbéliardes se vendent normalement entre 3,70 et 3,85 €, pour monter à 3,90 € dans les R–.
L’activité est également fluide sur les races allaitantes, avec des enseignes qui préparent des promotions de viande rouge. La demande se concentre sur les animaux d’entrée de gamme. Sur le marché de Cholet, le commerce est actif avec des tarifs fermes pour les rouges des prés ou les charolaises R de conformation, avec des R= qui se négocient entre 4,35 et 4,40 € en fonction des acheteurs, pour une fourchette comprise entre 4,20 et 4,45 €.
L’équilibre entre l’offre et la demande permet une relative stabilité des prix sur les bonnes génisses et jeunes vaches blondes d’Aquitaine U. Elles partent entre 4,70 et 5,00 € dans les légères de moins de 450 kg. Les prix montent entre 5,00 et 5,40 € pour les plus de 500 kg.
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